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OVNI, l’armée Russe accuse le 3ème Reich.

Publié par: Claude ACAM Le :


 « Beaucoup de gens peuvent voir des météorites dont l’apparition ne dure que quelques secondes et beaucoup de personnes peuvent voir pendant des heures des ballons plafonnant dans le ciel. En revanche, qui peut voir une sorte d’avion traverser en quelques secondes la voûte céleste ? » . Tels furent les arguments des deux aviateurs devant leurs auditeurs incrédules. Ce qui fit réfléchir pas mal de monde, à commencer par les plus hauts dignitaires du 3e Reich.

Toutes les observations d’O.V.N.I. jusqu’alors répertoriées avaient été le fait de pilotes d’avion ou de contrôleurs de la navigation aérienne, dont le métier implique une aptitude particulière à discerner et à caractériser ce qui s’offre à leur vue.  ils étaient d’autant plus sur leurs gardes qu’ils étaient en guerre. Après avoir passé en revue toutes les hypothèses possibles (étoiles brillantes en plein jour, phénomènes d’ionisation de l’air, appareils volants expérimentaux secrets), on décida, au risque de se ridiculiser, de s’informer auprès des services de renseignements de l’amiral Canaris s’il pouvait s’agir d’armes secrètes alliées. L’amiral lui-même répondit par la négative. Il révéla en revanche que les services secrets alliés semblaient être au courant de ces curieux objets dans le ciel allemand et pensaient qu’il  s’agissait des armes  secrètes  qu’Hitler avait annoncées.

Selon Thierry Pinvidic , la Luftwaffe aurait, à partir de cette date, créé « un service mobilisant en permanence trois cents pilotes confirmés, des ingénieurs en aéronautique et de nombreux  savants spécialisés aussi bien en mécanique des fluides qu’en résistance des matériaux. Appelé Sonder Büro n° 13 et répondant au nom de code « Uranus », ce service avait pour tâche de centraliser tous les rapports étranges, de les étudier et de tenter une ébauche d’analyse ».

Très vite opérationnel, « Uranus » était en liaison permanente avec l’amiral Canaris et ses services, avec aussi le centre de documentation de la marine allemande. S’il eut à intervenir en maintes occasions, il fut appelé en toute hâte an Février 1944 alors que deux cents témoins, dont Goebbels et Himmler eux-mêmes, virent distinguement au-dessus de  Kummeradorf  une boule lumineuse suivre à distance une fusée expérimentale, dont les nazis se faisaient une gloire de célébrer en grande pompe le lancement. Les pilotes d’élite poursuivirent l’O.V.N.l. avant qu’il ne disparaisse comme par enchantement. Mais il avait pu être enregistré par les appareils spéciaux dont était muni chaque avion du Sonder Bùro n° 13. Il en fut de même pour plusieurs « boules de feu » signalées au-dessus de la base de Rechlin-Roggenthin en septembre 1994.

Les esprits les plus cartésiens de « Uranus »  ont alors imaginé trois hypothèses, soulignent certains ingénieurs allemands  rescapés de 39-45 : Ou bien on était en face  d’une sorte de super-psychose du  climat obsessionnel de la guerre qui conduisait à voir des objets « bizarres » partout ; ou il s’agissait de manifestations de Terriens, par exemple de l’arrivée de bateaux voyageant dans le temps ou encore ces O.V.N.I. s’apparentaient à des systèmes de communication utilisés par des civilisations inconnues.

Leur programme aurait été alors de découvrir un modèle physique s’accordant avec les données des témoignages des aviateurs interrogés. Même si ces engins non identifiés défiaient scandaleusement les lois connues de la physique par leur comportement, leurs évolutions, etc., il devait être possible de parvenir au moins à atteindre leur vitesse.

C’est pourquoi, selon le technicien allemand Richard Miethe aujourd’hui réfugié en Egypte, les laboratoires de Stettin, Dortmund, Essen et Peenemüde ont été chargés de concevoir un disque volant, qui aurait d’ailleurs été testé le 15 mai 1944 : fonctionnant à l’hélium comprimé, il aurait atteint une vitesse de 2500 km/h pour une autonomie de 40 000 km.

Les plans des V7 en U.R.S.S.

C’est cet engin qui est passé à la postérité sous le nom de « V7 » et dont les vols, dit-on, furent expérimentés en Tchécoslovaquie. Lors de la débâcle allemande, les Soviétiques se seraient emparés des copies des plans du V7 et auraient ramené avec eux en Russie trois des ingénieurs qui étaient chargés de la construction.

Nul doute que le Vergeltungswaffe 7 (ou V7) a été reproduit en U.R.S.S., les documents pris aux nazis étant très clairs quant à son système de propulsion : « Equipé, selon Charles Garreau, de douze turbo-réacteurs B.M.W. 028, munis de compresseurs autonomes à six étages, il développerait 5500 chevaux (5400 CV en vol) et 2600 kg de pression additionnelle (2900 kg en vol). La propulsion s’effectuerait par douze turbines à l’intérieur d’un anneau métallique tournant autour de la masse centrale. Ni flammes, ni fumées ne seraient visibles, les gaz de combustion étant récupérés par un système spécial mis au point en 1938 par un ingénieur britannique.»

La remarque qui s’impose est que les deux nations qui ont progressé le plus vite en matière de fusées sont comme par hasard celles qui ont bénéficié des documents  du 3e Reich, que l’on pourrait qualifier de pré-astronautique, et de techniciens ou savants allemands : ne serait-ce que Werner von Braun pour le compte des Américains. L’intérêt ufologique du Reich pourrait en être une des explications.

Stéphane DOREY    

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