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Mathilde l’infirmière – Entretien avec un Extraterrestre capturé par l’US Air Force.

Publié par: Claude ACAM Le :


Photo de Matilda O'Donnel MacElroy Un témoignage très intéressant qui donne des informations, parmi tant d’autres, sur la supposée réelle histoire de notre planète et ses alentours.
Matilda O’Donnel MacElroy a gardé pendant 60 ans les documents concernant cet entretien et les a envoyés à un éditeur en 2007. Elle était âgée de 83 ans et savait qu’elle quitterait bientôt cette terre.
Le livre est paru aux USA en 2008, avant la déclassification des documents par le gouvernement américain sur une partie du dossier OVNI (voir la présentation du livre de Marc St Germain aux Éditions Nouvelle Terre), ce qui lui apporte une certaine crédibilité. On sait maintenant qu’il y a bien eu le crash de vaisseaux à Roswell et que des corps extraterrestres ont été récupérés.

 

Voici ce qu’écrit l’auteur dans ses notes finales : »La plupart des gens ne croiront rien de tout ça, j’en suis sûre. Cela semble trop incroyable. Aucune personne ‘raisonnable’ ne voudrait en croire un mot. Cela semble cependant ‘incroyable’ à un IS-BE [voir explication de ce terme ci-dessous] dont la mémoire a été effacée et remplacée par de fausses informations au sein de l’illusion contrôlée électroniquement de la prison planétaire. Nous ne devons pas permettre que l’apparente non-crédibilité de notre situation nous empêche de la confronter à la réalité. »L’extraterrestre, dont l’infirmière parle au féminin, nomme les terriens des « IS-BE », ce qui veut dire en abrégé « Immortal Spiritual Beings » (Êtres spirituels immortels).

(NOTE PERSONNELLE DE MATILDA)

« J’avais déjà passé plusieurs heures avec l’extraterrestre quand elle fut ramenée à la base. Comme je l’ai mentionné, on m’a dit de rester avec elle, car j’étais la seule personne de nous tous qui pouvait comprendre ses messages. Je ne comprenais pas ma capacité à « communiquer » avec l’être. Je n’avais jamais fait auparavant d’expérience de communication télépathique avec quiconque.

La communication non-verbale vécue était comme la compréhension qu’on pourrait avoir quand un petit enfant ou un chien tente de vous faire comprendre quelque chose, mais en beaucoup, beaucoup plus direct et puissant ! Même si aucun « mot » n’était dit, ou de signes manifestés, l’intention des pensées était évidente pour moi. J’ai réalisé plus tard que, bien qu’ayant reçu l’idée, je n’interprétais pas forcément sa signification exacte.

Je pense que l’être extraterrestre ne voulait pas discuter de questions techniques, en raison de la nature de son statut d’officier et de pilote ayant le devoir de maintenir la sécurité et la confidentialité requises par sa propre « unité » ou organisation. Tout soldat capturé par « l’ennemi » dans l’exercice de ses fonctions a bien sûr le devoir de garder une information vitale, même pendant un interrogatoire ou sous la torture.

Mais j’ai toujours senti malgré tout que l’extraterrestre ne cherchait pas vraiment à me cacher quoi que ce soit. Je n’ai jamais ressenti cela. Ce qu’elle me communiquait m’a toujours paru honnête et sincère. Mais je suppose qu’on ne peut jamais être sûr à 100 %. J’ai nettement senti que je partageais un « lien » unique avec l’extraterrestre. C’était une sorte de « confiance » ou d’empathie qu’on a avec un patient ou un enfant. Je pense que c’est parce que l’extraterrestre a pu capter que je m’intéressais vraiment à elle et n’avais aucune intention malfaisante à son égard, ni n’aurais permis qu’on lui fasse du mal, dans la mesure de mes moyens.

Je parle de l’extraterrestre en disant « elle ». En fait, l’être n’était sexualisé en aucune façon, aussi bien sur le plan physiologique que physique. « Elle » avait une présence et un comportement plutôt féminin. Pourtant, en termes de physiologie, l’être était asexué et ne présentait aucun organe reproducteur interne ou externe. Son corps faisait plus penser à celui d’une « poupée » ou d’un « robot ». Il n’y avait aucun organe interne, car le corps n’était pas fait de cellules biologiques. Il n’y avait pas de système de « circuit » ou de système nerveux qui parcourait son corps, mais je ne comprenais pas comment tout cela fonctionnait.

En stature et en apparence, le corps était très petit. Une taille d’environ un mètre. La tête était anormalement grosse par rapport aux bras, aux jambes et au torse, qui étaient fins. Il y avait trois « doigts » sur chacune des deux mains et des deux « pieds » (cela ne vous rappelle rien ;-))  qui étaient plus ou moins préhensiles. La tête ne présentait aucun « nez » ou « bouche » ou « oreilles » fonctionnels. J’ai su ensuite qu’un officiel de l’espace n’en a pas besoin car l’espace n’a pas d’atmosphère conductrice du son. C’est pourquoi le corps ne contient pas d’organes sensoriels auditifs. Il n’a pas besoin non plus de consommer de nourriture, d’où l’absence de bouche.

Les yeux étaient très grands. Je n’ai jamais pu déterminer le degré exact d’acuité visuelle dont les yeux étaient capables, mais j’ai observé que son sens de la vue devait être extrêmement affiné. Je pense que la pupille des yeux, très sombres et opaques, pouvait aussi détecter des ondes ou des particules au-delà du spectre lumineux. Je suppose que cela pouvait inclure la gamme entière du spectre électromagnétique, mais je n’en suis pas sûre.

Quand l’être me regardait, son regard semblait pénétrer jusqu’au fond de moi, comme s’il avait une vision aux rayons X. Je trouvais cela un peu embarrassant au début, jusqu’à ce que je réalise qu’il n’y avait aucune intention sexuelle. En fait, je me demande si elle s’était même demandée si j’étais un homme ou une femme.

Il devint tout à fait évident en très peu de temps passé avec l’être que son corps n’avait pas besoin d’oxygène, de nourriture ou d’eau, ni d’aucune source extérieure de nutrition ou d’énergie. Comme je l’appris plus tard, cet être se procurait sa propre « énergie » pour animer et faire fonctionner son corps. Cela faisait un peu bizarre au début, mais je m’habituais à cette idée. C’est un corps vraiment très très simple. Comparé aux nôtres, il n’y a pas grand-chose.

Airl m’expliqua qu’elle n’était pas mécanique, comme un robot, et pas biologique non plus. Elle est auto-animé en tant qu’être spirituel. Techniquement parlant, d’un point de vue médical, je dirais que le corps de Airl ne pouvait même pas être appelé « vivant ». Son corps de poupée n’est pas une forme de vie biologique avec des cellules et tout le reste.

Sa peau ou le genre de revêtement de couleur grise qui lui servait de peau était soyeuse au contact. Le corps était hautement tolérant aux changements de température, aux conditions atmosphériques et à la pression. Les membres étaient plutôt frêles, sans musculature. Dans l’espace, il n’y a pas de gravité, donc très peu de force musculaire est nécessaire. Le corps était utilisé presque entièrement dans un vaisseau spatial ou dans des environnements sans gravité. Comme la Terre a une forte gravité, le corps ne pouvait pas se déplacer très bien car les jambes n’étaient pas vraiment adaptées à ce but. Les pieds et mains étaient cependant très flexibles et agiles.

La nuit précédant mon premier entretien avec l’extraterrestre, la zone s’était transformée en une ruche bourdonnante d’activité. Il y avait une douzaine d’hommes travaillant à installer des lampes et un équipement de prise de vues. Une caméra avec micro et un enregistreur audio furent aussi installés dans la « pièce d’interview ». (Je ne comprends pas pourquoi il faillait un micro, puisqu’il n’y avait aucune communication verbale possible avec l’extraterrestre) Il y avait aussi un sténographe et plusieurs personnes s’activant sur des machines à écrire.

Je fus informée qu’un interprète expert en langues étrangères et qu’une équipe de décryptage avaient été envoyés par avion à la base pendant la nuit pour m’assister dans mes efforts de communication avec l’extraterrestre. Il y avait aussi du personnel médical – des spécialistes en domaines variés – pour examiner l’extraterrestre. Et un professeur de psychologie était là pour aider à formuler les questions et à « interpréter » les réponses. Comme je n’étais qu’infirmière, je n’étais pas considérée comme une interprète « qualifiée », même si j’étais la seule ici à pouvoir comprendre tout ce que pensait l’extraterrestre !

Il y eut de nombreuses conversations entre nous par la suite. Chaque « entretien » aboutit à une meilleure compréhension entre nous, comme j’en discuterai ensuite dans mes notes. Voici la première transcription avec les réponses à une liste de questions donnée par l’officier du renseignement de la base, dont j’ai fait un compte-rendu immédiat au sténographe après l’entretien. »


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